A partir du XVIIIème
siècle, dans le but de mettre à l’honneur les agriculteurs les plus méritants,
et œuvrant pour les progrès de l’agriculture, on décide de les récompenser.
C'est en 1805 que
Napoléon institua un concours avec "attribution de prix aux cultures les
mieux aménagées, aux meilleurs soins donnés au bétail et aux améliorations des
animaux domestiques".
Dès 1840 une incroyable
organisation se mit en place à l'initiative de l'Inspecteur Général des Ecoles
vétérinaires Yvart. Le premier concours agricole s’était déroulé et il récompensait
l'excellence agricole. En très peu de temps, ce dernier s’étend de plus en plus
dans les mœurs.
De 1844 à 1867, le
concours d'animaux de boucherie se déroulera à Poissy, puis à Versailles, pour atterrir
enfin dans la capitale, au Champ de Mars en 1855 pour le "premier Concours
agricole universel". Après un court passage par la Villette, le « Concours
Général de Paris » s'installe au Palais de l'Industrie en 1870. Mais il fut interrompu
à cause de la guerre de 1870, il reprendra son itinérance parisienne jusqu'à
1914 en s'installant successivement au Grand Palais, au Champ de Mars ou encore
à l'Esplanade des Invalides. Dans les mêmes années, il devient la « Semaine de
l'Agriculture de Paris » et prend de l'envergure en accueillant de nouvelles
productions agricoles comme les fruits, les miels, l'horticulture et surtout
les vins.
- Le salon International de
l'Agriculture
Interrompu pendant la Première
Guerre mondiale, le salon de l'Agriculture réapparait en 1922 à la Porte de
Versailles où on le retrouve tous les ans. Cependant le salon interdit la
présence d’animaux en 1938 dû à l'épidémie de fièvre aphteuse.
De 1940 à 1950, le salon
de Versailles est inactif. Il refait surface à la Porte de Versailles, où il connaitra une tentative de délocalisation à
Strasbourg en 1958. Le salon devient « international » en 1964 : Le Salon International de l'Agriculture
est né.
- Un lieu de rencontres
unique
Aujourd’hui,
le salon réunit des centaines d’agriculteurs et des milliers de visiteurs, de
toute la France et de tout domaine. C’est un événement annuel très attendu de
tous. Cette année, il ouvrira ses portes aux visiteurs du 22 févriers au 02
mars. Tous les animaux d’élevage français y sont présentés, de même que des
ateliers sur la génétique, la sélection, la santé animale, le cuir, l’aliment
et tous les matériaux… en fait, on y voit toute la filière agricole de l’amont
à l’aval. Vous pouvez découvrir cette filière indispensable à travers des
activités, des animations, des concours présentaient par des passionnés.
Succès populaire toujours
renouvelé, le Salon
International de l'Agriculture obtient en 2009 l'affluence
record de 670 000 visiteurs (chiffre à comparer avec les 86 000 visiteurs de
1950).
Pour nous retrouver, n’hésitez pas a venir faire un tour du coté du bâtiments numéro trois. On vous dit à bientôt !
Depuis la rentrée, nous
travaillons dure avec Dahlia, tous les soirs elle sort et se promène
autour du lycée sous les regards des lycéens amusés. Pour nous, la
concentration est maximale, le seul objectif est d’être prêtes à la fin du mois. Le travail est de plus en plus pointilleux, entre
l’apprentissage de la marche à Dahlia, qui fait de très gros progrès et
le clippage qui commence doucement .
Et voici une photo sympa de notre belle Dahlia en promenade cette après
midi, ainsi qu'un petit montage vidéo du travail accompli. 
La Normande est particulièrement connue pour sa double-aptitude.
Sa production brute moyenne est de 6 546 kg en 322 jours avec une capacité
à produire un lait riche en protéines et une viande à un goût remarquable. En
effet son lait a une composition élevée en matières grasses et en protéines. De
plus la normande fournit des carcasses lourdes avec un bon rendement en viande.
Sa viande est très appréciée pour sa saveur et son persillé ! 
Suite à la visite d’exploitation des alpagas à Courcelles,
nous vous présentons un rapport sur les alpagas.
Les élèves de BTS PA se sont relayés durant 2 semaines à la bergerie afin de surveiller le bon déroulement des mises-bas des brebis. Ces deux semaines étaient basées sur le bénévolat, mais toute la classe à jouer le jeu. Au programme : nuits agitées et courses effrénées entre les agneaux à tirer, les fouilles à réaliser, les adoptions à effectuer ainsi que les biberons à faire et à donner. Croyez-nous, pas le temps de s’ennuyer ! Les gardes étaient assurées par des groupes de 2 à 6 étudiants, qui à tour de rôle faisait des rondes pendant que les autres dormaient ou se reposaient dans la paille. Chips, gâteaux, coca et autres denrées étaient de rigueur pour tenir toute la nuit.
